Grâce à cet accord, nos entreprises pourront continuer à vendre leurs produits et services sur un pied d'égalité dans toute l'Europe. Nos universités pourront continuer à bénéficier des programmes de recherche européens et nos étudiants conserveront le libre accès aux universités européennes. Enfin, dans des domaines clés comme l'énergie, les marchés boursiers et la recherche, de nouveaux contrats pourront enfin être signés, ouvrant de nouvelles opportunités de développement pour notre pays.
Le résultat des négociations est convaincant
Comme le Conseil fédéral l'écrit justement dans ses explications, les principaux objectifs des négociations ont été atteints. La Suisse conserve sa souveraineté dans les processus législatifs nationaux. Le règlement des différends est même une situation gagnant-gagnant pour la Suisse, puisque la proportionnalité des mesures compensatoires est prescrite. La protection salariale est également expressément ancrée dans l'accord. Une période d'enregistrement de 4 jours ouvrables pour les travailleurs détachés de l'UE est suffisante à l’époque de la numérisation. Le principe « à travail égal, salaire égal au même endroit » est également explicitement partagé par l'UE. Les vert’libéraux sont donc convaincus que la protection salariale sera maintenue grâce à l'accord-cadre.