« La coexistence n’est pas une bonne idée car nos agriculteurs n’ont strictement rien à y gagner, bien au contraire, et la grande majorité des consommateurs ne veulent pas d’OGM. Le risque et les surcoûts d’une coexistence ne l’emporte clairement pas », a estimé la Conseillère nationale Isabelle Chevalley lors du débat au Conseil national.
La recherche restera possible
Les vert’libéraux trouvent juste cependant que la recherche continue dans le domaine du génie génétique. Avec la décision d’aujourd’hui, ceci restera possible sans restrictions car la recherche ne sera pas affectée par le moratoire.