Du point de vue des vert’libéraux il n’est pas nécessaire de fixer précisément au niveau fédéral dans quelle année scolaire il faut commencer à apprendre la première ou respectivement la deuxième langue étrangère. Les cantons devraient avoir la liberté de décider eux-mêmes s’ils souhaitent enseigner une ou deux langues étrangères à l’école primaire. Ceci dit, si un canton renonce à l’introduction d’une deuxième langue étrangère au niveau primaire, il faut prioriser une langue nationale comme première langue étrangère. Tout en approuvant la révision de la loi fédérale, il est beaucoup plus important pour les vert’libéraux de prendre en compte la compréhension mutuelle des communautés linguistiques dans la vie de tous les jours ainsi que dans le quotidien politique, et ceci de manière conséquente.