La prospérité de notre pays repose depuis toujours sur sa capacité d’innovation et sa compétitivité. Ce modèle de réussite est mis en péril quand le combat est engagé contre les nouvelles technologies et la concurrence au lieu d’y voir une opportunité. Ce n’est pas seulement la politique qui veut préserver des privilèges par la fermeture du marché, mais aussi des entreprises, dans lesquelles l’État a souvent une participation. Sur le long terme, une telle politique affaiblit la force d’innovation ainsi que la puissance économique de la Suisse et, par conséquent, notre prospérité. Au lieu de cette approche malheureuse, les vert’libéraux veulent faciliter la concurrence internationale tout comme à l’intérieur de notre pays. Les modèles de gestion innovants ne doivent pas être mis en danger par une législation trop contraignante, mais au contraire doivent être facilités. « Quiconque vote pour les vert’libéraux vote pour l’innovation et la libre-concurrence », a souligné Jürg Grossen.